L’histoire des hérissons
Les hérissons existent depuis très longtemps, certains pensent même que cet animal existe depuis l’époque des dinosaures, car des fossiles datant de cette période ont été retrouvés. Leurs ancêtres avaient à peu près la même apparence que ceux d’ aujourd’hui.
Egypte ancienne
On croyait qu’il protégeait les morts, en effet de nombreuses représentations de hérissons ont été découvertes dans plusieurs tombeaux.
Dans l’antiquité
Chez les Romains, le hérisson représentait un animal d’une grande importance. En effet, les anciens Romains les utilisaient afin de prévoir les saisons. Par exemple, si le hérisson sortait de son nid, cela signifiait l’arrivée du printemps. S’il voyait son ombre (et avait peur) cela voulait dire que l’hiver allait durer six semaines.
Au moyen-âge
Lors d’expériences médicales hasardeuses, le hérisson était souvent utilisé. Par exemple, on croyait que les cendres de leur peau guérissaient les soucis de calvitie. On croyait que manger l’œil droit d’un hérisson permettait d’améliorer la vision nocturne.
Avant 1960
A l’époque, le hérisson était considéré comme nuisible et l’état donnait des primes aux gens qui en tuaient.
De nos jours
Aujourd’hui le hérisson est protégé.
Car considéré comme auxiliaire au jardin, il est très utile. Etant donné, qu’il se nourrit d’escargots, limaces, et de tous les insectes et mollusques qui ravagent les potagers. Ce qui fait des hérissons les meilleurs alliés des jardiniers.
19.09.1979
Le hérisson jouis du statut d’animal protégé par la convention de berne signé en septembre 1979. (Pas question de faire des hérissons des animaux domestiques et les mettre en cage ou de les tuer).
Conclusion
Le hérisson est un des plus anciens mammifères. Il appartient au groupe des insectivores. Les premiers hérissons sont apparus il y a environs 25 à 35 millions d’années.
Il est intéressant de noter que l’anatomie et le comportement du hérisson n’ont guère changés. Manifestement, ses piquants lui ont rendu de grands services, puisqu’il peut se défendre sans se battre et blesser son adversaire sans l’attaquer.